Atelier d’écriture citoyenne les Ecrits-Tiquent « Si la liberté était »

Si la liberté était une coïncidence, elle serait un rayon de lune sur un vitrail, tel un prisme imageant toutes les couleurs de la vie.

Si la liberté était un travail, elle serait un horaire photographié de milles possibilités de création.

Si la liberté était un logement, elle serait un havre de bonheur empierré dans les rayons de soleil.

Si la liberté était un homme, elle serait un pilier de compréhension rempli de dialogues.

Si la liberté était une femme, elle serait une épaule d’impulsion et d’écoute.

Si la liberté était un lieu, elle serait une rivière aux milles méandres jamais asséchés.

Si la liberté était le temps, elle serait un sablier sans sable, créant des possibilités à l’infini.

Si la liberté était un plat, elle serait des ingrédients naturels, mélangés à des pincées d’amour et de respect.

Si la liberté était un art, elle serait une flèche en équilibre pointée vers la cible des mondes.

Si la liberté était une coïncidence, j’en serais l’un des principaux acteurs !

Si la liberté était un travail, ce serait également un passe-temps !

Si la liberté était un logement, il n’y aurait plus de sans-abris !

Si la liberté était un homme, nous ne serions plus libres devant l’adversité !

Si la liberté était une femme, nous ne serions plus libres devant l’autorité ! (ce ne serait pas mon genre)

Si la liberté était un lieu, nous serions tous au paradis !

Si la liberté était le temps, il diviserait l’heure en 60 fois 60 secondes.

Si la liberté était un plat, il serait indigeste.

Si la liberté était un art, nous serions tous ses chefs-d’œuvre.

Si la liberté était une coïncidence, elle serait dans le ciel.

Si la liberté était un travail, elle serait Pairi Daiza.

Si la liberté était un logement, elle serait un jouet.

Si la liberté était un homme, elle serait un chasseur.

Si la liberté était une femme, elle serait mon amoureuse Gwendoline.

Si la liberté était un lieu, elle serait une forêt.

Si la liberté était le temps, elle serait en retard.

Si la liberté était un plat, elle serait un boulet liégeois avec des frites.

Si la liberté était un art, elle serait une piscine.

Si la liberté était une coïncidence, la résistance n’aurait pas de sens.

Si la liberté était un travail, elle serait l’énergie de l’humain et de tout ce qui vit.

Si la liberté était un logement, elle n’aurait pas de murs.

Si la liberté était un homme, elle serait violence.

Si la liberté était une femme, elle serait un épanouissement de la vie.

Si la liberté était un lieu, elle ferait mourir les idées.

Si la liberté était le temps, elle serait l’existence et l’absence.

Si la liberté était un plat, elle serait un délice.

Si la liberté était un art, elle serait émotion et pensée.

Si la liberté était une coïncidence, elle serait mon alizé préféré.

Si la liberté était un travail, elle serait le résultat de mes passions.

Si la liberté était un logement, la nature en serait l’essence.

Si la liberté était un homme, il serait mon guide.

Si la liberté était une femme, elle serait l’origine de l’humanité.

Si la liberté était un lieu, il serait le sommet naturel du monde.

Si la liberté était le temps, il serait tout relatif.

Si la liberté était le temps, elle serait les talons d’une femme qui résonnent sur le pavé.

Si la liberté était un plat, elle serait une salade partagée.

Si la liberté était un art, elle serait un trésor partagé.